Et puis Paulette...
17 mai 2013 05:59 0 messages
Je déteste lire des romans que j’appelle "naturalistes" : je sais que fermer le livre ne va pas clore la vie des personnages et qu’ils vont continuer à parler, à échanger... à prendre de la place dans ma vie qui n’a plus beaucoup de place pour les autres.
Mais, pour une fois !
Écrites en majeure partie avec un point de vue de vieux, les "viocs" comme les appellent crûment les étudiants du livre, j’ai lu ces pages comme un manifeste pour la recherche de solutions alternatives aux maisons de retraite.
Barbara Constantine, "Et puis, Paulette...", 2012.
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